lundi 24 mai 2010

paradoxal



Je n'ai jamais mangé autant de homards qu'en ce début d'été (pas par la date, mais bien par la sueur qui commence à me dégouliner dans le cou: quoi que c'est un bon préparatif pour ce qui m'attend).

Donc, vous disais-je, c'est la première année où je déguste autant de ces succulents crustacés qui font que vous vous fermez les yeux de jubilation.

J'ai aussi savouré, samedi, en compagnie de mes Zamis, un magnifique repas tibétain.

Et tout ça, avant de me mettre en mode "fade" du tô.

En espérant que mon cerveau garde en mémoire toutes ces saveurs.

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